Un journal paru en 1953 (1) relate que c’est dès 1870, que les habitants des Trieux se mirent à penser à construire une salle de réjouissances pour la jeunesse et pour les habitants du quartier, car ils se rendaient ordinairement à Waressaix, notamment aux salons du Barbier, du Vitrier ou de Lafleur.
Il a fallu attendre 1891 pour qu’à la demande des commerçants de Tout Vent, on trouve enfin un accord favorable auprès de Jules François (dit Mathy) qui exploitait déjà un café à la rue Royale mais qui possédait derrière ce café, un terrain sur lequel on allait bâtir une salle.
Le but premier était donc d’établir une salle de fêtes sur les Trieux afin d’y retenir la jeunesse et de faire prospérer le commerce du quartier.
A.M.Marré-Muls
(1) La Nouvelle Gazette des 5 et 6 avril 1953.
LE SALON MATHY
Un journal paru en 1953 (1) relate que c’est dès 1870, que les habitants des Trieux se mirent à penser à construire une salle de réjouissances pour la jeunesse et pour les habitants du quartier, car ils se rendaient ordinairement à Waressaix, notamment aux salons du Barbier, du Vitrier ou de Lafleur. Il a fallu…