TAXES
En 1883, la commune de Carnières fut autorisée par un arrêté royal du 24 août, à percevoir les taxes suivantes :
— une taxe de 5 F sur chaque pigeonnier,
— une taxe de 5 F sur chaque voiture suspendue,
— une taxe de 5 F sur chaque bal,
— une taxe de 2 F sur chaque soirée musicale ou dansante donnée dans un lieu public.
Ces différentes taxes remplacèrent les impositions perçues en vertu d’un arrêté royal datant du 19 novembre 1881.
IMPOTS IMMOBILIERS.
D’après le plan cadastral parcellaire de la commune de Carnières édité par M. Popp (1860), la contenance imposable était de 719 ha 67 a 10 ca et la contenance non imposable était de 41 ha 24 a 60 ca.
Le revenu imposable des propriétés non bâties s’élevait à 41.163 F 98 et celui des propriété bâties à la somme de 16.427 F.
Les propriétés non bâties se répartissaient en terres labourables, jardins, hou-blonnières, vergers, prés, pâtures, bois, blanchisseries (), oseraies, pâtis (2), réservoirs d’usine, aunaies, sablonnières et étangs.
A. TAMINIAUX.
(1) Lieu où s’effectuait le blanchîment des toiles.
(2) Friches, tertres incultes
TAXES ET IMPOTS AU XVIII° SIECLE
TAXES En 1883, la commune de Carnières fut autorisée par un arrêté royal du 24 août, à percevoir les taxes suivantes : — une taxe de 5 F sur chaque pigeonnier, — une taxe de 5 F sur chaque voiture suspendue, — une taxe de 5 F sur chaque bal, — une taxe de 2…